Dans l’appartement de la victime Marion Varten, la commissaire Félicie Hoareau, une joviale quadragénaire réunionnaise, s’affaire aux côtés de la police scientifique. Dès le premier constat, les circonstances de la mort ont semblé suspectes.
Dans la minuscule chambre sans fenêtre où le corps est allongé, l’air est irrespirable. Un diffuseur d’huile essentielle est posé à même le sol. Rien ne semble avoir été dérangé dans l’appartement. Pas de trace de médicament ou de drogue qui pourrait laisser penser à un suicide ou à une overdose. Pas d’ordinateur, ni de téléphone portable.
Sur la table de la cuisine trône une corbeille de roses rouges insolites et un étrange extrait d’un poème de Baudelaire.
De Marseille à Grasse une enquête haletante au dénouement surprenant…
Comme dans son précédent roman « La femme aux mains jointes » (Privat), Laurette Autouard signe un nouveau thriller psychologique et, de meurtre en meurtre, fait voyager ses lecteurs de l’art au polar avec beaucoup de simplicité, d’humanité et une verve colorée.